… il faut vivre comme si on ne devait jamais mourir… »
C’est suite au commentaire de cette citation que débuta, il y a… un certain nombre d’années… ma carrière aéronautique…
Je n’imaginais pas, à l’époque, à quel point ces quelques mots étaient prémonitoires. Je ne devrais me souvenir d’eux que comme le sujet de dissertation de mon concours d’entrée à l’ENAC… Oui, mais voilà… l’histoire a une fâcheuse tendance à se répéter…
J’y vois désormais le leitmotiv qui trouverait idéalement sa place sur le fronton du « Club House » des Ailes Limousines, pour peu qu’on leur permette d’en avoir un un jour. C’est en effet ce qu’appliquent, à la lettre, les membres actifs » de notre association…
Grande chose que la restauration entreprise et encore en cours de « Notre Max »… et pourtant…
La simple observation de l’évolution de l’environnement « bellegardien » tendrait à faire penser à une mort à plus ou moins long terme faute de tanière où se réfugier…Une association telle que les Ailes Limousines, dépositaire du patrimoine aéronautique de toute une Région, ne peut que mourir sans domicile fixe…et pourtant…
Ignorant la menace, les chevilles ouvrières de ce projet généreux n’ont cessé de travailler à la remise en état de cette machine mythique qu’est le Broussard… Beaucoup auraient baissé les bras… se seraient résignés… auraient renoncé face à la brutalité des forces de l’argent…tel un malade atteint d’une affection incurable en phase terminale…attendant la mort… Combien de défenseurs d’un patrimoine qui fera défaut à nos enfants ont baissé les bras face aux requins de la finance, souvent incultes sous des airs hautains, toujours dénués de scrupules, mais jamais rassasiés de pouvoir et d’expansion…
Les restaurateurs des Ailes, eux, ont choisi d’ignorer la menace aussi longtemps que ce sera possible. Contraints à travailler dans des conditions déplorables, obligés de quémander la charité à tel ou tel club pour quelques semaines… ils ont décidé de vivre comme si les Ailes ne devaient jamais mourir… et ils sont en train de faire une grande chose
C’est suite au commentaire de cette citation que débuta, il y a… un certain nombre d’années… ma carrière aéronautique…
Je n’imaginais pas, à l’époque, à quel point ces quelques mots étaient prémonitoires. Je ne devrais me souvenir d’eux que comme le sujet de dissertation de mon concours d’entrée à l’ENAC… Oui, mais voilà… l’histoire a une fâcheuse tendance à se répéter…
J’y vois désormais le leitmotiv qui trouverait idéalement sa place sur le fronton du « Club House » des Ailes Limousines, pour peu qu’on leur permette d’en avoir un un jour. C’est en effet ce qu’appliquent, à la lettre, les membres actifs » de notre association…
Grande chose que la restauration entreprise et encore en cours de « Notre Max »… et pourtant…
La simple observation de l’évolution de l’environnement « bellegardien » tendrait à faire penser à une mort à plus ou moins long terme faute de tanière où se réfugier…Une association telle que les Ailes Limousines, dépositaire du patrimoine aéronautique de toute une Région, ne peut que mourir sans domicile fixe…et pourtant…
Ignorant la menace, les chevilles ouvrières de ce projet généreux n’ont cessé de travailler à la remise en état de cette machine mythique qu’est le Broussard… Beaucoup auraient baissé les bras… se seraient résignés… auraient renoncé face à la brutalité des forces de l’argent…tel un malade atteint d’une affection incurable en phase terminale…attendant la mort… Combien de défenseurs d’un patrimoine qui fera défaut à nos enfants ont baissé les bras face aux requins de la finance, souvent incultes sous des airs hautains, toujours dénués de scrupules, mais jamais rassasiés de pouvoir et d’expansion…
Les restaurateurs des Ailes, eux, ont choisi d’ignorer la menace aussi longtemps que ce sera possible. Contraints à travailler dans des conditions déplorables, obligés de quémander la charité à tel ou tel club pour quelques semaines… ils ont décidé de vivre comme si les Ailes ne devaient jamais mourir… et ils sont en train de faire une grande chose
JPN
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire