10 jeunes de l’IME d’Eyjeaux à l’aéroport
Pas de vol cette fois, mais ce n’est que partie remise…
Rendez-vous sur le tarmac
Une dizaine de jeunes de l'Institut médico-éducatif d'Eyjeaux s'est rendue à l'aéroport, hier, pour une visite pleine de surprises. Certes, Fabien, Sandra, Kevin et leurs copains de sections n'ont pas pu s'envoler dans le ciel comme prévu à cause du mauvais temps, mais l'équipe encadrante et l'association qui les recevait, les Ailes Limousines, ont trouvé de quoi remplacer l'activité. Passage sous les portiques de contrôle du hall des départs, rencontre avec les pompiers de l'aéroport qui leur ont fait une démonstration de certaines fonctions du camion, goûter… Et découverte, jusqu'à l'intérieur, du Broussard de 1953, premier avion retapé et remis en état de vol par les mordus d'aviation de l'association. Dans son discours, le vice-président, Christian Chielens, a promis que la session de vol n'était que partie remise. « On a tous besoin de rêver, mais les enfants en difficulté encore plus que nous. Alors si on peut leur offrir un peu de rêve… » considère Jacques Garros, membre du bureau de l'association.
Sponsors. La Fondation du Crédit Mutuel a profité de l'occasion pour distribuer deux chèques aux Ailes Limousines et à Emmaüs.
D'autres photos:
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Une dizaine de jeunes de l'Institut médico-éducatif d'Eyjeaux s'est rendue à l'aéroport, hier, pour une visite pleine de surprises. Certes, Fabien, Sandra, Kevin et leurs copains de sections n'ont pas pu s'envoler dans le ciel comme prévu à cause du mauvais temps, mais l'équipe encadrante et l'association qui les recevait, les Ailes Limousines, ont trouvé de quoi remplacer l'activité. Passage sous les portiques de contrôle du hall des départs, rencontre avec les pompiers de l'aéroport qui leur ont fait une démonstration de certaines fonctions du camion, goûter… Et découverte, jusqu'à l'intérieur, du Broussard de 1953, premier avion retapé et remis en état de vol par les mordus d'aviation de l'association. Dans son discours, le vice-président, Christian Chielens, a promis que la session de vol n'était que partie remise. « On a tous besoin de rêver, mais les enfants en difficulté encore plus que nous. Alors si on peut leur offrir un peu de rêve… » considère Jacques Garros, membre du bureau de l'association.
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